
Titre : Citadins de demain
Saga : La Tour de garde
Numéro de tome : 2
Autrice : Claire Duvivier
Maison d’édition : Aux forges de Vulcain
Date de sortie : 1 en Octobre 2021
Genre : Fantasy
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Ayant commencé la saga de la Tour de Garde avec le Sang de la Cité, premier tome de la trilogie de capitale du Sud, je me suis attaquée au tome introductif de la trilogie Capitale du Nord : Citadins de demain, me permettant ainsi de boucler l’introduction de ces deux univers. Ici, ou suit Amalia, une jeune aristocrate. Avec son meilleur ami et le fils d’un batelier, ils ont suivi un programme éducatif imaginé par deux familles et nommé citadins de demain. Le but de leurs parents : bousculer un peu une aristocratie qui stagne car le monde en dehors de cette Cité est bien en train de changer.
Alors, certes, l’expérience a échoué puisque les autres familles n’ont pas adhéré au projet mais on a tout de même trois jeunes gens dont l’esprit a été formé par être curieux de tout. La première conséquence est la prise de conscience de nos deux aristocrates de la classe bourgeoise et du fait qu’une révolution sera peut-etre nécessaire pour permettre à la cité de Dehaven de survivre car même nos deux aristocrates se rendent compte qu’ils sont un peu formatés par leur classe. L’anistocratie et la Bourgeoisie auront donc besoin de s’écouter pour avancer.
Quant au fiancé d’Amalia, il découvre une ancienne forme de magie et arrive à la réactiver. Or, Dehaven est une cité sans magie. Qu’est -ce que cela va ouvrir comme porte ? Est-ce que cela mène un effet positif ou négatif ? Quel sera l’impact sur la Cité en elle même et sur sn histoire ?
On va surtout découvrir, grâce à Amalia, toute l’histoire de la Cité. En effet, chez Dehaven, ce sont en majorité les femmes de l’aristocratie qui font fonctionner la cité car, en gros, les hommes aristocrates sont plutôt oisifs. On découvre aussi que cette cité a des colonies et que celles -ci sont en passe de mener une révolution. On est donc à un moment charnière de l’Histoire de la Cité
C’est évidemment grâce À Amalia qu’on découvre tout cela puisque c’est avec son point de vue que la narration se fait. Claire Duvivier prend aussi le parti de donner un ton assez aristocrate dans la narration, ce qui surprend, surtout quand on quitte Capitale du Sud. Mais je trouve cela très bien fait car cela marque bien la différence entre nos deux univers.
Mes deux introductions ont été lues et j’ai beaucoup aimé ces deux univers. J’ai hâte de découvrir le déroulé de ces deux histoires et voir comment elles vont se croiser. A bientôt donc pour le tome 2 de Capital du Sud.

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